promenade dans la forêt

Le vent frais du soir ce leva accompagné des cris des centaines de bêtes parcourant la forêt. Je m’avança prudemment pas après pas.

*apparemment il n’y a pas de bandit ici ce soir et ...*

Je m’arrêta, j’avais entendu un bruit venant des broussailles devant moi. Je leva la main, pris un couteau à lancée et je l’envoya a l’endroit exacte ou j’avais entendu le bruit puis j’attendit. Après quelques minutes je vis un lapin sortir de son abri et détallé en vitesse. Je sourit.

*Toi tu as de la chance, il aurait juste fallut que tu soit un peu plus grand et je t’avais comme repas du soir *

Je récupéra mon couteau et le rangea dans ma veste. Cela faisait plusieurs jours qu’il ne se passait rien sauf prés de Champaille town où des combat avait lieu.
Il commença à pleuvoir et je regarda le ciel sans expression particulière…
Plusieurs heures après je repartit en chasse accompagné du bruit sourd.

J’arriva près d’une clairière où de nombreux brigands avait élu domicile. J’en compta cinq: deux sentinelles de chaque cotés du camp, deux autres autour du feu et un endormi dans la tente. J’approcha le camp par le sud et je tua facilement la première sentinelle.

*Plus que quatre*

Par chance, ses compagnons n’avaient rien entendu et je pus en profité pour abattre le deuxième. Cette fois si, le brigands remarqua l’absence des deux sentinelles et le chef donna ses ordres.

« Alerte, on nous attaque. Réveillez-vous et préparez-vous au combat. Cachez-vous dans les … »

Il tombât sur le sol, une flèche en plein cœur.
Grâce au chaos générale qui a suivie la mort de leur chef, j’en profitât pour me placé au nord du camp.

*Il en reste deux*

Le reste des brigands attendaient caché dans les herbes le moindre geste de leurs attaquants. On entendaient que le bruit de la pluie et le vent frai qui faisait trembler les feuilles des arbres.
J’entendit quelque un bougée prés de moi mais impossible de dire de quel côtés…

« Tu l’a vus ? »

Après quelques minutes une réponse me parvient:

« non et toi? »

Je leva mon arme et je le tua d’un coup.

* Imbécile *

Le dernier brigand en avait profité pour s’enfuir loin d’ici laissant ses compagnons a l’agonie.

« Encore des minables….. »

» Fuite dans les rues